Les femmes sont-elles sexuellement passives ?
De mes pérégrinations dans l’œuvre proustienne j’ai principalement retenu une idée : Proust n’aimait pas l’amour. Du moins, il ne couchait pas sur le papier les raisons objectives de son amour, préférant décrire longuement ses propres émotions jalouses alternant avec le mépris pédant pour l’Albertine endormie de son œuvre, jamais possédée vraiment, toujours absente. La lettre d’adieu de la muse est le seul moment où elle m’apparut véritablement présente, sujet à part entière. De cela Continuer de lire Les femmes sont-elles sexuellement passives ?